Mon grand ennemi, mon Wagner à moi, c'est la presse tunisienne. Je me lasserai jamais d'en parler. Et biensur, il ne s'agit pas de juste "parler" : je la critiquerai comme d'habitude, et je mènerai une guerre d'idées impitoyable pour la vaincre. Pourquoi ? et bien, donnez-moi juste la chance de choisir mon ennemi ! et j'ai choisi la presse tunisienne, parce que selon moi, c'est le phénomène le plus destructeur de la pensée, ou, si vous voulez, de l'opinion générale tunisienne. La chose la plus étrange, la plus pathétique, la plus dégueulasse de nos tabloïds tunisiens, c'est la glorification des figures de la décadence des peuples arabes. Il y a toujours, cette horrible odeur du nationalisme arabe, idée enterrée depuis quelques décennies, qui se propage parmi les "lecteurs", contagieusement, par les pages de mes ennemis. Je ne sais pas pourquoi après toutes ces années, on parle toujours du "leader martyr" (qui est e...