Les hommes oublient toujours.. Ils oublient exactement ce qui est le plus important.
Tout est cercles circonscrites, avec le même centre.. Il n'y a pas de puzzle. Il n'y a pas de solution à fournir. Il n'y pas de problème pour chercher la solution. Tout simplement, on doit choisir nos cercles.
Dans un univers où l'homme est le centre, tout aurait fonctionné parfaitement.. Mais l'homme n'est pas le centre. Il n'est même pas proche suffisamment du centre, pour se tromper.
L'homme est excentrique. Et malheureusement, il oublie facilement son excentricité. L'homme ne devient centriste que lorsque son égo doit se placer quelque part.
Et il réclame le centre avec toute confiance... C'est parfois impoli.
Dans ce même contexte, les couleurs se mélangent pour donner du noir. Ce sont les funérailles de la lumière. Les couleurs s'habillent en noir, pour célébrer la fin des lumières.
Et tout devient noir, pour l'observateur simple et stupide. Tout commence à jouer avec les règles du noir. Mais simplement, le noir n'a pas de règles. Le noir c'est l'absence des règles. On parlera du noir, parce que dans ce monde nouveau, les lumières ne sont qu'une partie de l'histoire. Et les couleurs d'aujourd'hui, hélas, sont conformistes...
Et le noir fût.
Tout est cercles circonscrites, avec le même centre.. Il n'y a pas de puzzle. Il n'y a pas de solution à fournir. Il n'y pas de problème pour chercher la solution. Tout simplement, on doit choisir nos cercles.
Dans un univers où l'homme est le centre, tout aurait fonctionné parfaitement.. Mais l'homme n'est pas le centre. Il n'est même pas proche suffisamment du centre, pour se tromper.
L'homme est excentrique. Et malheureusement, il oublie facilement son excentricité. L'homme ne devient centriste que lorsque son égo doit se placer quelque part.
Et il réclame le centre avec toute confiance... C'est parfois impoli.
Dans ce même contexte, les couleurs se mélangent pour donner du noir. Ce sont les funérailles de la lumière. Les couleurs s'habillent en noir, pour célébrer la fin des lumières.
Et tout devient noir, pour l'observateur simple et stupide. Tout commence à jouer avec les règles du noir. Mais simplement, le noir n'a pas de règles. Le noir c'est l'absence des règles. On parlera du noir, parce que dans ce monde nouveau, les lumières ne sont qu'une partie de l'histoire. Et les couleurs d'aujourd'hui, hélas, sont conformistes...
Et le noir fût.
Commentaires