L'ordinateur qui a fait l'invasion de tout domaine n'est qu'une chose qui fonctionne à la méthode d'un jeu très ancien : traduire les situations problématiques en une suite de "oui" et de "non". Exercez le jeu suivant avec vos potes et vous allez comprendre tout (ou presque, ce qui reste est : "comment fonctionne un ordinateur?") : pensez à une chose : quelqu'un que vous connaissez, un joueur de football, la petite amie d'un pote (de préférence qu'il ne soit pas présent), votre plat préféré, un type de voiture, etc. (c'est à vous d'imaginer) et après que vous en êtes décidé, demandez à vos amis de poser des questions, qui ont pour but de connaître le sujet choisi, mais à la restriction suivante : les réponses doivent se limiter en "oui" et "non".
Vous allez constater que lorsque le sujet de chaque partie devient de moins en moins évident, le temps nécessaire s'amplifie exponentiellement. Maintenant pensez à l'ordinateur : même si le programme est peu performant, le PC l'exécute, à vitesse élevée (des millions d'opération logiques par seconde) mais sans raisonnement intelligent. Le programme efficace, surtout en arithmétique, est le programme le plus court : il évite l'accumulation des erreurs de calculs.
Le processeur d'un ordinateur traite en réalité des informations du type binaire : "true" ou "false". Et dès l'aube de l'informatique, les programmeurs ont été obligés de programmer dans ce même langage, ce qui était une tâche vachement difficile. c'est ainsi qu'apparaît le besoin d'un langage mieux adapté, un langage de haut niveau (vous pouvez devinez l'existence d'un langage de bas niveau, c'est le langage assembleur, qui traduit chaque instruction du processeur en un équivalent compréhensible, mais ça reste une tâche lourde car il n'est pas facile de créer de long programmes avec cette méthode.) c'est ainsi que les langages ALGOL, FORTRAN, COBOL, BASIC, C, ADA, PASCAL, LISP, et puis C++ et JAVA ont vu le jour : ce sont des langages plus compréhensibles, avec des instructions plus générales et plus simple à apprendre puisque les commandes sont en Anglais. Il suffit d'une seule instruction pour multiplier ? par la racine carrée de 2654, et de cinq ou six lignes de commandes pour calculer la moyenne d'un élève et l'afficher sur le moniteur.
Le génie c'est l'homme, il est capable de tout inventer, mais prochainement, je vais vous montrer comment l'homme même, n'est qu'un con de merde.
Vous allez constater que lorsque le sujet de chaque partie devient de moins en moins évident, le temps nécessaire s'amplifie exponentiellement. Maintenant pensez à l'ordinateur : même si le programme est peu performant, le PC l'exécute, à vitesse élevée (des millions d'opération logiques par seconde) mais sans raisonnement intelligent. Le programme efficace, surtout en arithmétique, est le programme le plus court : il évite l'accumulation des erreurs de calculs.
Le processeur d'un ordinateur traite en réalité des informations du type binaire : "true" ou "false". Et dès l'aube de l'informatique, les programmeurs ont été obligés de programmer dans ce même langage, ce qui était une tâche vachement difficile. c'est ainsi qu'apparaît le besoin d'un langage mieux adapté, un langage de haut niveau (vous pouvez devinez l'existence d'un langage de bas niveau, c'est le langage assembleur, qui traduit chaque instruction du processeur en un équivalent compréhensible, mais ça reste une tâche lourde car il n'est pas facile de créer de long programmes avec cette méthode.) c'est ainsi que les langages ALGOL, FORTRAN, COBOL, BASIC, C, ADA, PASCAL, LISP, et puis C++ et JAVA ont vu le jour : ce sont des langages plus compréhensibles, avec des instructions plus générales et plus simple à apprendre puisque les commandes sont en Anglais. Il suffit d'une seule instruction pour multiplier ? par la racine carrée de 2654, et de cinq ou six lignes de commandes pour calculer la moyenne d'un élève et l'afficher sur le moniteur.
Le génie c'est l'homme, il est capable de tout inventer, mais prochainement, je vais vous montrer comment l'homme même, n'est qu'un con de merde.
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