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[ extrait de "considérations" par moi-même, n° 79 ] J'ai contemplé, durant des années, les conflits politiques et armés de notre petite globe. Le premier constat que j'ai eu, est que les pressions religieuses et idéologiques sont le plus grand moteur du maintien des conflits. Il est vraiment absurde, en tout cas, de justifier les actes terroristes en moyen-orient par la religion, mais c'est bien le cas. Ces groupes qui sèment la terreur et déstabilisent tout processus de paix, ont tous des idéologies religieuses. La tension au Liban par exemple, l'affrontement entre Fatah et Hamas, les opérations d'Al Qaïda en Irak et au Maghreb, sont tous des gestes fondés sur une idéologie fondamentalistes. Pourquoi ne trouve-t-on pas des libéraux parmi ceux qui se portent volontaires à repousser « les croisades américaines » en Afghanistan ? tout simplement parce que les fondamentalistes sont les seuls à expliquer ces guerres comme religieuses. Malheureusement, chacun d

la Church of satan, l'organisation explicitement sataniste et référence du Satanisme, sise à New York, a posté sur son site officiel un article qui parle d'un malentendu avec Apple, qui veut cacher le fait que l'église satanique a créé son site officiel en utilisant macintosh, et que les Satanistes yankees adorent le mac. www.churchofsatan.com site officiel. Je crois profondément que l'économie sait choisir le moment pour cacher ou dévoiler quelque chose, plus que la politique !

C'est une question très logique ce temps là : avec le retour de la bataille pour/contre voile, je me demande qui sont ces gens qui veulent nous imposer quelque chose morale ? sont-ils capable de nous démontrer avec un raisonnement logique parfait et déterministe la fausseté de nos propos moraux et la validité de leurs choix ? Je revendique ainsi ce que tout homme, citoyen du 21 ème siècle est censé revendiquer : nous avons accepté tout type possible de propagande, alors ça suffit, nous sommes capables de choisir, de raisonner et de savoir si le voile est bon ou non. Je n'ai jamais de ma vie imposé quelque chose à quiconque, alors qu'on respecte nos cervelles ! Chacun a son propre choix, et il est capable de le justifier. Alors on n'est pas dans une école de Bien/Mal aujourd'hui... On est censé respecter autrui, mais je tend à me respecter moi même avant, donc je veux bien, à partir de ce respect, avoir mes propres décisions. Bon, la loi, on est d'accord : l'

[Extrait de mes "Considérations" / n° 36] L'esprit commercial est l'esprit qui domine l'homme moderne. deux questions qu'il se pose expliquent tout : Qu'ai-je à gagner ? qu'ai-je à perdre ? C'est pour ça qu'on alimente les esclaves. Ceux qui cherchent la vérité doivent savoir que la vérité n'est ni Bien ni Mal, que seul l'esprit de l'homme dessine le Bien et le Mal. Ils doivent aussi savoir que la démarche économique n'est efficace que pour l'économie, parce qu'elle y est justifiée. L'accumulation des gains sociaux peuvent engendrer une perte gigantesque. Ce qu'un homme doit mettre en question, c'est les lignes rouges de son existence. Après, tout peut être sain et sans danger. Mais ne faites pas l'erreur classique : il faut prendre du temps pour définir et finir les lignes rouges. Si ça vous intéresse, voici une définition élémentaire pour mes lignes rouges : Tout principe qui exprime une offense quelcon

[Extrait de "Considérations" par Moi-Même, n° 71 qui date de 30 Avril 2008] Ce qui m'a incité à écrire la partie suivante est relatif à un petit événement qui date d'aujourd'hui (30 Avril 2008). J'était au centre ville de la capitale (Tunis) avec une amie très proche lorsque deux gars et une fille qui marchent devant nous commencèrent à insulter Nietzsche (« Psychopathe, malade, fou... »). J'ai sourit un bon moment, et puis, j'ai répondu à la question très attendue de mon amie : « Pourquoi souris-tu ? ». Je lui ai attiré l'attention sur ce que ces jeunes ont dit, et j'ai ajouté ce commentaire : « Ils avaient raison, Nietzsche était fou, mais c'était eux qui le trouvaient comme ça. par contre, Paul Valéry, André Malraux, Carl Jaspers, Martin Heidegger et André Gide ne l'ont pas trouvé fou. » Un mois avant, j'ai eu cette discussion intense avec un autre ami, qui a suit un enseignement artistique à l'école des beaux-arts de Tunis,